Les gardes

MQNPCLH – page 35 « Nous pensions que les gardes marchaient machinalement, en se fiant à notre immobilité : mais ils continuent à nous surveiller si attentivement, si constamment qu’ils ont compris, les fouets ont claqué.-          Ils ne nous touchent jamais.-  Jadis ils l’ont fait, il y a eu des blessures, qui guérissaient très lentement. On ne sait pas pourquoi ils ont arrêté. Les révoltes sont inutiles. Il faut attendre de mourir. »

MQNPCLH – page 48« Je ne quittais pas les gardes des yeux. Ils étaient toujours en trois, qui allaient et venaient dans la galerie. Ils ne se parlaient pas. »

MQNPCLH – page 50« Hélène et Isabelle t’ont appris les tables de multiplication, tu as du les oublier parce que tu ne t’en servais jamais. Et puis, quand tu as compris que ce n’était pas un jeu, tu t’es dérobée cela t’a mise de mauvaise humeur. Nous ne pouvions pas te forcer et, à cause des gardes, nous ne pouvions pas t’infliger de punitions. »

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