MQNPCLH - page 146 - Toutes les femmes sont mortes sauf le narrateur
« Mais j’étais seule. Plus personne ne dépendait de moi, ni ne pouvait être dérangé par mes façons d’être. J’avais toute confiance en mon corps, qui exigerait bien le sommeil quand il en aurait besoin, il n’y avait pas de raison que je me couche si je n’en avais pas envie. Je pouvais partir. Je me chaussai, endossai mon sac et sortis. »
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